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BlitzKrieg Bienvenue sur le forum de discussion de la règle de jeu BlitzKrieg
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neveuloic Maréchal
Inscrit le: 25 Fév 2008 Messages: 1472 Localisation: St Pierre près de Châlons en Champagne
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Posté le: Jeu Avr 16, 2009 9:15 pm Sujet du message: |
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On vas tester cela à la prochaine partie.
Merci STEINER
GOLDFI _________________ ETRE ET DURER LES GARS!!! |
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Demarkation Maréchal
Inscrit le: 26 Mai 2008 Messages: 2173 Localisation: Oise
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Posté le: Dim Avr 19, 2009 1:32 pm Sujet du message: |
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Bien vu aussi AMHA :
Citation: |
- Avant le déclenchement d'un assaut, le joueur indique son souhait de faire des prisonniers (recherche de renseignements). Il aura un malus lors du corps à corps, mais en cas de réussite du combat pourra capturer l'élément adverse.
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Pour faire bonne mesure, un élément capturé dans ces conditions rapporterait le double de points qu'un élément détruit dans un c/c "normal"
(un adversaire prisonnier vaut plus qu'un adversaire mort )
On pourrait même imaginer que les éléments ennemis camouflés à proximité (30cm ?) perdent leur camouflage
Citation: |
- Des éléments démoralisés se déplaçant vers le couvert le plus proche se trouve sous le feu adverse, les tirs s'effectuant à portée courte. Les éléments subissant les tirs testent leur moral, en cas d'échec, reddition. Le test n'aurait lieu que si les tirs s'effectuent à portée courte.
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100% d'accord
On limiterait aux armes légères quand même ?
Citation: |
- Une unité qui vient de subir plus de 50% de perte teste son moral pour chaque perte supplémentaire. En cas d'échec au test, reddition. En cas de réussite, l'unité poursuit le combat. Si le résultat est un 6 avant modification, Camerone: l'unité se battra jusqu'au bout !
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Ah, les beaux communiqués en perspective ! _________________ "Ma droite est tournée, ma gauche est menacée, mon centre est enfoncé, la situation est excellente, j'attaque !" |
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neveuloic Maréchal
Inscrit le: 25 Fév 2008 Messages: 1472 Localisation: St Pierre près de Châlons en Champagne
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Posté le: Dim Avr 19, 2009 1:37 pm Sujet du message: |
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Bien vu pour la recherche du rens. En plus c'est tout à fait celà . c'est ce qu'indique les temoignages que je viens de lire sur les combats autour d'ECOUVES (normandie: 2DB).
GOLDFI _________________ ETRE ET DURER LES GARS!!! |
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Alain Roudil Modérateur
Inscrit le: 03 Fév 2008 Messages: 3315 Localisation: Villefranche de Rgue (12)
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Posté le: Dim Avr 19, 2009 3:49 pm Sujet du message: |
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Citation: |
- Des éléments démoralisés se déplaçant vers le couvert le plus proche se trouve sous le feu adverse, les tirs s'effectuant à portée courte. Les éléments subissant les tirs testent leur moral, en cas d'échec, reddition. Le test n'aurait lieu que si les tirs s'effectuent à portée courte. |
Par courte portée tu veux dire 5 cm "bout portant"
Citation: |
- Une unité qui vient de subir plus de 50% de perte teste son moral pour chaque perte supplémentaire. En cas d'échec au test, reddition. En cas de réussite, l'unité poursuit le combat. Si le résultat est un 6 avant modification, Camerone: l'unité se battra jusqu'au bout ! |
Tu parles du test de cohésion
Si c'est le cas, toute compagnie qui manque son test doit se rendre
Elle peut aussi très bien décrocher et s'éloigner de la zone de combat. _________________ Alain |
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Demarkation Maréchal
Inscrit le: 26 Mai 2008 Messages: 2173 Localisation: Oise
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Posté le: Dim Avr 19, 2009 5:01 pm Sujet du message: |
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Citation: |
Elle peut aussi très bien décrocher et s'éloigner de la zone de combat. |
Effectivement, elle voudrait bien s'éloigner de la zone des combats, voire de la guerre elle-même
Mais le problème, c'est que la "zone des combats" peut faire plusieurs centaines de mètres de profondeur (pour en rester aux armes légères) et être dénuée de couverts "à l'épreuve"
Prenons un exemple que je tire d'une petite visite perso sur le site des combats entre la HJ et les Britanniques à l'Est de Caen en Juillet 44.
Imaginons un des bataillons PzGr de la HJ déployé sur la ligne de feu :
Une partie des compagnies de PzGr du bataillon en question sont déployées dans la plaine, face aux lignes britanniques.
Le premier échelon ("les avants postes") de feu est constitué par des sections qui sont postées dans des trous individuels en contre-pente, face
à une légère éminence qui les masque aux avant-postes Britanniques.
(quelques mètres de dénivellation suffisent)
Le second échelon de feu (ligne de résistance principale, "HauptKampfLinie" ou "HKL", du bataillon), constitué de la majorité des sections PzGR et d'une partie de la compagnie d'appui (HMG, pièces de PAK et mortiers éventuellement) est quant à lui déployé sur une deuxième crête qui domine les avants-postes et dispose de vues sur le sommet de la première crête, voire au delà .
Le reste des soutiens (mortiers, canons d'infanterie éventuellement), plus la compagnie de PzGr en réserve sont positionnés en troisième échelon, à 800-1.000 mètres des avant-postes.
Le même schéma est repris peu ou prou au niveau régimentaire et divisionnaire.
La profondeur du dispositif du bataillon, entre les avant-postes et la HKL, est de l'ordre de 500m, soit la distance suffisante pour que les HMG et éventuellement les mortiers puissent intervenir au profit des avant-postes, tout en les mettant en partie à l'abri d'un barrage d'artillerie et d'une partie des tirs d'armes légère en cas d'attaque ennemie sur le dispositif.
La HKL se trouve de toute façons à au moins 800 mètres des lignes ennemies, donc les tirs d'armes légères depuis la base de feux ennemie sont moins dangereux.
Dans la théorie, en cas d'attaque importante, le deuxième échelon de combat (sur la deuxième crête) doit pouvoir couvrir le repli des avant-postes qui sont à contre-pente (face à la première crête)
Mais dans le cas où l'attaque parvient à prendre pied dans la zone de feu des avant-postes (200 mètres max.), ceux-ci sont en fait sacrifiés, car ils ne peuvent se replier à travers un découvert de 300-500 mètres de profondeur sans se faire tirer dans le dos comme des lapins.
Donc ils n'ont comme option que de mourrir sur place ou de se rendre.
C'est pourquoi la proximité d'un couvert ou son éloignement sont je crois déterminant dans la "survie" dans élément qui se replie.
L'idéal est même que le couvert en question soit un repli de terrain, car avec des projectiles qui peuvent traverser 80cm de terre tassée et 40cm de bois (munition de 7.92mm), le "petit bois derrière nous qui va nous sauver la vie" peut-être rapidement transformé en allumettes et ceux qui s'y sont réfugié en apéricubes...
Marc _________________ "Ma droite est tournée, ma gauche est menacée, mon centre est enfoncé, la situation est excellente, j'attaque !" |
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steiner61 Maréchal
Inscrit le: 19 Fév 2007 Messages: 1133 Localisation: Châlons en Champagne
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Posté le: Dim Avr 19, 2009 9:12 pm Sujet du message: |
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[quote="Alain Roudil"]
Citation: |
Si c'est le cas, toute compagnie qui manque son test doit se rendre
Elle peut aussi très bien décrocher et s'éloigner de la zone de combat. |
Une unité qui a perdue plus de 50% de ses effectifs ne peut plus effectuer d'action offensive. Pour une compagnie possédant 9 groupes, elle devrait tester à partir de 5 groupes perdus. Bien sur, tout dépend de la situation générale, si l'adversaire en face n'a aucune attitude offensive, il n'y a aucune raison de tester sa cohésion. Par contre si le camp adverse et en attaque, il y a du souci à se faire.
Comme je l'ai dit plus haut, il faut tester et voir aux cours de différentes parties.
Qu'une compagnie se rende parce qu'elle à subit des pertes n'a rien d'extraordinaire. Il y a un aspect en jeu de guerre qui fausse la donne, c'est l'omniprésence du joueur. Il a une vision globale de la situation et prend ses décisions en conséquence. Dans la réalité, le combattant, qu'il soit simple GV, chef de groupe, de section ou commandant de compagnie ne voit pas au delà de 50 à 100 m. Pour le dernier, il a une radio qui lui permet d'avoir un liaison avec l'échelon supérieur, les autres Cies ainsi qu'avec ses hommes sur le terrain. Ses prises de décisions vont donc reposer sur son expérience et son intuition.
Pour le combattant au contact de l'ENI, c'est un peu différent ! il est en état de stress, les balles sifflent à ses oreilles, les copains qui comme lui s'abritent ou pour les moins chanceux meurent. Si son entrainement ne lui permet pas de surmonter son état, si les ordres n'arrivent pas, il va tenter de décrocher. Si l'ENI est trop prêt il se rendra, même si la situation générale est en faveur de son camp ! Au final, les réactions du combattant vont reposer sur son entrainement, sa confiance dans ses chefs, sa capacité à maintenir la liaison avec ses chefs et ses camarades. Tous ses facteurs vont influencer sa perception de la situation et dicter sa conduite. |
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